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Fiche Technique |
Titre original : |
スケットダンス
| Épisodes : |
77/NC |
Genres : |
Comédie |
Année : |
2011 |
Studio : |
[TATSUNOKO PRODUCTION] |
Note : |
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Auteur : |
[SHINOHARA KENTA] |
Conseillé par : |
RougeXIII, Tiyo, Ashang |
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------------- Synopsis ------------- Le Sket-dan est un club de lycée qui se propose de venir en aide à tous ceux qui le leur demandent. Il n'y a que trois membres dans ce club singulier : Switch, un geek-otaku-je-sais-tout qui ne s'exprime qu'à travers un synthétiseur vocal et malgré cela plait aux filles ; Himeko, une ancienne yankee qui sait faire preuve d'une violence terrifiante et se passionne pour les sucettes aux goûts insolites ; et enfin Bossun, le chef au super-pouvoir de concentration optimale dès qu'il met ses lunettes, et accessoirement doué dans les domaines artistiques. Dans une ambiance comique et rocambolesque, les trois membres de ce club essayent de répondre aux requêtes de leurs amis et de se battre contre le Conseil des élèves irrité par leur attitude peu orthodoxe.
------------- Critique 1 -------------
En lisant le synopsis de cet animé, il est normal de penser qu'il est fade et dénué d'intérêt. Un énième animé comique sur le thème de l'école n'est pas très original, c'est la triste vérité. Pourtant, en regardant ces épisodes, on s'attache naturellement aux personnages, très charismatiques : prenez Fujisaki Yusuke, qui à l'air d'un parfait imbécile, il faut le dire, mais qui révèle tout son charisme en enfilant ses lunettes ou encore Switch, qui ressemble certes à un otaku, mais qui extrêmement intelligent. Cela s'applique aussi aux cinq membres du conseil des étudiants, mystérieux sombres.
L'humour est omniprésent dans cette série, mais il s'agit ici d'un humour léger et agréable et de plus le contexte scolaire, donc parallèlement plus réaliste, permet de s'identifier beaucoup plus aux personnages. Les mini-histoires des protagonistes ne sont ni trop longues ni trop courtes, ce qui nous empêche de nous lasser. Cependant on peut noter une certaine monotonie dans ces aventures.
Vous apprécierez sans doute ce très sympathique animé, une sorte de Gintama , mais en plus réel.
-Le Guignol-
------------- Critique 2 -------------
Je dois avouer que je ne me suis pas jeté sur cet animé dès sa sortie, laissant quelques épisodes s’écouler avant de le débuter. Souvent assimilé à du Gintama sur les différents forums que j’ai visité, du fait que l’auteur de la série ait été un assistant de Hideaki Sorachi, je trouve que cette comparaison cause beaucoup de tort à la série qui dispose de ses propres qualités.
Bossun est un jeune adolescent au comportement si puéril qu'il arrive de se demander s'il s'agit vraiment du héros central. Himeko, ancienne yankee repentie dôtée d’une force monstrueuse, mais suffisamment sensible pour rougir ou pleurer dans certaines situations. Switch, sûrement le plus bizarre des trois, mais aussi le plus drôle, un otaku toujours en compagnie de son précieux ordinateur portable qu'il utilise pour s’exprimer avec différentes intonations. Un groupe très uni dont la rencontre nous est inconnue mais qui finira bien par être dévoilée. Au-delà du trio principal, auquel on s’attache au fur et à mesure des épisodes, je donne une mention spéciale aux personnages secondaires qui, vous le remarquerez, sont assez stéréotypés mais également inoubliables, comme par exemple le fan de visual kei ou encore Yabasawa et sa « bouche en 3 ».
Le rythme est posé sans être trop lent, avec parfois deux histoires (ou enquêtes) différentes pour un seul épisode. Concernant les épisodes en eux-mêmes, je dirais que si on se laisse prendre on ne voit vraiment pas le temps passer, avec un humour, certes assez prévisible mais qui parvient à faire mouche à chaque fois. C'est d'ailleurs là qu'on sent la patte Gintama, ça je ne le nierai pas.
Je tiens à souligner l'opening de très bonne facture, interprété par le groupe French Kiss, qui nous plonge instantanément dans l'ambiance déjantée de cet animé que je conseille à tous ceux qui souhaitent passer du bon temps devant un genre que je trouve de plus en plus rare.
-saeba-san- |
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